Communauté universitaire
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Un mystérieux drone a survolé l'Unistra...

Mercredi 4 novembre 2015, le survol de différents lieux de l'université par l'un de ces vrombissants petits appareils n'est pas passé inaperçu. Mais pas de panique ! Il ne s'agissait ni de suivre à la trace les personnels de l'Unistra, encore moins d'identifier les étudiants en retard pour leurs cours.

Derrière l'opération se cache tout simplement le service Production et diffusion audiovisuelle de l'Université. Il orchestrait ce jour là un reportage de grande ampleur destiné à alimenter de vues aériennes la banque d'images Unistra. Les prises de vue des changements opérés dans le cadre de l'Opération campus sont à découvrir très prochainement...

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Aurélie Vernier : « Je ne pourrais pas vivre sans écrans »

Programmation du festival Chacun son court, organisation du ciné-club des arts et licence Arts du spectacle : Aurélie Vernier conjugue au pluriel sa passion du cinéma. À seulement 22 ans, l’ancienne vice-secrétaire de La Cigogne enragée a même reçu un diplôme saluant son engagement associatif.

Il y a peu, les programmes et les affiches de Chacun son court (du 20 au 25 octobre derniers)* occupaient encore une bonne partie de l’appartement d’Aurélie Vernier. Sans compter sa centaine de DVD. « J’ai arrêté d’en acheter des neufs : problème de stockage, et ça coûte trop cher ! » Qu’elle évoque sa quête de copies de films rares ou la sélection des courts-métrages pour le festival, la jeune femme utilise les mêmes mots : « Trouver une petite pépite parmi des films de qualité moyenne, c’est génial ! » Elle, son truc, c’est la programmation : « En arrivant en licence Arts du spectacle, comme trois-quarts des gens, je voulais faire réalisatrice. J’ai vite réalisé que ce n’était pas pour moi… »
De janvier à juin, Aurélie, accompagnée de bénévoles et des deux directeurs artistiques de Chacun son court, doit faire son choix parmi 1 200 courts-métrages : « On n’en retient qu’une cinquantaine. Ce qui est intéressant, c’est qu’à chaque édition, on ne sait jamais ce qui va en sortir. Cette année, on a rassemblé assez de courts pour une soirée consacrée à la Finlande ; avec les films expérimentaux inclassables d’étudiants, on a créé une nouvelle catégorie, Labo. » Pour la première fois le festival a aussi introduit une compétition et un prix du public.

« Réunir des publics différents »

Le cinéma, Aurélie Vernier n’est pas tombée dedans toute petite : « Mes parents ne sont pas cinéphiles. L’un de mes seuls souvenirs, c’est Nemo avec mon papa. Il s’est endormi pendant la séance ! » De son petit village de Franche-Comté, il faut une heure de bus pour rejoindre le cinéma art et essai. Au lycée, c’est la révélation : « J’ai pris option cinéma parce que des amis le faisaient et ça avait l’air chouette. J’ai adoré analyser chaque scène de La mort aux trousses, d’Hitchcock. En philo aussi, on a étudié Farenheint 451 : on pouvait aborder le film comme on voulait. » Dès son arrivée à l’Université de Strasbourg, Aurélie rejoint La Cigogne enragée,  en devient vice-secrétaire, et y réalise un service civique, en 2014-2015. En plus de la programmation de Chacun son court, elle s’occupe aussi de celle du ciné-club mensuel. « On essaie de proposer à la fois des films d’auteur, grand public, drôle, récent. J’aime l’idée de réunir, à un prix modique (2 €), des publics très différents. » Ses choix, pour cette édition : Arsenic et vieilles dentelles (Franck Capra), La fureur de vivre (Nicholas Ray) et In the mood for love (Wong Kar-Wai).

Son engagement, qui lui a permis d’obtenir un diplôme universitaire de l’engagement étudiant, en septembre dernier, ne va pourtant pas sans sacrifices : « Je dois repasser deux matières de licence 3, car l’an dernier mon service civique a représenté un engagement lourd. C’est un choix, je ne regrette pas. » Aurélie, qui plus jeune rêvait d’être professeur des écoles, a organisé une projection de courts pour enfants, lors du festival, à la médiathèque du Neudorf. Un quartier qu’elle connaît bien, puisqu’elle y travaille au centre social, comme animatrice. « J’essaie le plus possible de faire rentrer le cinéma dans cette activité. C’est difficile, car avec les films pour enfants, on tombe vite dans la niaiserie. » L’an dernier, la directrice lui propose un défi : travailler autour du thème de la Semaine sans écrans. « J’ai dû ruser, aborder l’idée que ce qu’on regarde sur écran est plus ou moins qualitatif. Moi, je n’imagine pas ma vie sans écrans ! »

Vendredi 13 novembre, à 20 h, au cinéma Star, projection de courts-métrages germanophones dans le cadre du festival de cinéma en langue allemande Augenblick

* mis en œuvre dans le cadre d'un IdEx

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Des toiles pour réapprivoiser la notion de laïcité

Anne Fornerod, Françoise Curtit et Vincente Fortier

À la suite des attentats de janvier, le projet de réinterroger la notion de laïcité, alors convoquée et interprétée à tout va, est né au sein de l’unité mixte de recherche Unistra-CNRS Dres (Droit, religion, entreprise et société). Ce projet se concrétise aujourd’hui à travers un cycle de cinq projections-débats, de novembre 2015 à mars 2016.

Une Marianne bleu-blanc-rouge, dessinée par le puzzle des lettres formant le mot « laïcité » : l’image choisie sur l’affiche des Toiles de la laïcité a valeur de symbole. Celui d’une laïcité plurielle, toujours sujette à discussion.
Tout est parti des attentats à Charlie Hebdo, en janvier 2015. Des débats s’ensuivent, rapidement centrés sur la question de la laïcité. « Certaines confusions et approximations ont alors été formulées à propos du principe juridique de laïcité », reconnaissent de concert Anne Fornerod, Françoise Curtit et Vincente Fortier.  Une évidence s’impose alors à ces chercheuses de l’équipe Droits et religions, au sein de l’UMR Dres. L’idée naît d’apporter une pierre au débat qui se construit. L’octroi d’un crédit de financement IdEx permet de concrétiser cette ambition.
« Nous sommes juristes – des gens qui sortent habituellement peu de leur cercle de réflexion – et l’idée était de se recentrer sur la laïcité comme principe juridique », insiste Vincente Fortier, directrice de recherche au CNRS.

Depuis la loi de séparation « des Églises (et non de l’Église) et de l’État », poursuit Anne Fornerod, la laïcité a d’abord été interprétée comme un principe ouvert, permettant à tous les cultes de cohabiter sans qu’un seul soit favorisé. Ces dernières années, un glissement s’est opéré vers une interprétation restrictive, excluante, selon laquelle la laïcité cantonnerait la croyance à la sphère privée. « On amalgame aussi de plus en plus liberté d’expression et laïcité », ajoute Vincente Fortier.

Pour combattre ces idées reçues fortement ancrées dans la société, le choix de proposer ces projections-débats au cinéma l’Odyssée n’est pas anodin : «  On sort de notre zone de confort, en allant à la rencontre de la société civile », ajoute Françoise Curtit. Ceci grâce à la  présentation de films-documentaires de moins d’une heure, chaque premier jeudi du mois, de novembre à mars. Les séances seront suivies de débats avec la salle, animés par des représentants d’acteurs-clés de la laïcité en France (Observatoire de la laïcité, Conseil d’Etat, Défenseur des droits, Institut de droit européen des droits de l’homme), mais aussi à l’étranger (l’exemple du Québec sera évoqué). Le choix des sujets est volontairement large, de l’interprétation de la laïcité dans toutes les sphères de la société aux fondations de 1905, en passant par la conversion à l’islam de personnes de différents horizons, illustrant par là même la volonté de débattre le plus largement possible.

Elsa Collobert

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Sensibiliser à la délicate question de la prostitution étudiante

Le service universitaire de médecine préventive et de promotion de la santé (Sumps) va mener une action de sensibilisation à la délicate question de la prostitution étudiante.

« Cela commence parfois de manière très insidieuse, en répondant à une petite annonce qui propose un logement contre services. Il n’est pas toujours facile de deviner que le service en question peut être de nature sexuelle, explique Corinne Clarac, directrice du Sumps. Et une fois installé dans le logement, il n’est pas toujours facile de sortir du piège. Au Sumps, nous n'avons jamais reçu d’étudiant(e) qui déclarait se prostituer. Mais je n’ai pas la naïveté de croire que c’est une pratique inexistante dans la population étudiante de Strasbourg. C’est surtout un sujet tabou. »
Le Sumps, associé à de nombreux partenaires, a donc élaboré un flyer qui sera distribué à différentes occasions sur le campus, et mis à disposition sur des lieux de passage. On y met en garde contre certaines offres ou pratiques insidieuses, on y rappelle qu’il faut apprendre à dire non, et surtout, on y liste les lieux et les structures dans lesquelles on peut chercher de l’aide si on est confronté à une telle situation. La démarche s’appuie sur l’information, pour sensibiliser à cette problématique, dont on ignore totalement l’ampleur aujourd’hui.

Un contexte de précarisation étudiante

« Dans le contexte actuel, marqué par une réelle précarisation de la situation de certains étudiants, on peut craindre que le recours plus ou moins direct à ce genre de pratique se renforce », déplore Aurélie Frey, infirmière au Sumps. D’où l’importance de faire savoir qu’il existe d’autres solutions pour échapper à la précarité.
Cette action du Sumps fait suite à une démarche engagée en 2014 par trois étudiantes d’une école d’assistantes sociales, qui ont consacré leur mémoire de troisième année à la prostitution étudiante. Cette année-là, elles ont mené une enquête via un questionnaire sur le campus de l’Unistra, après des investigations similaires sur 4 autres campus. 10% des personnes interrogées ont déclaré « avoir été confrontées (elles ou leur entourage) à la prostitution étudiante ». Et 71% des personnes interrogées, ont estimé utile que des actions de prévention autour de cette problématique soient entreprises à Strasbourg.
« Ce flyer est une première réponse, conclut Corinne Clarac. Nous allons également mobiliser les étudiants relais campus, car ils sont très proches des étudiants et pourraient facilement les orienter vers nous, à condition que ceux-ci se confient à eux. Ils ont été sensibilisés à cette question et sont bien sûr soumis à la confidentialité ».

C.L.

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L'Université de Strasbourg met ses jeunes talents à l'honneur

Ils sont quatorze, jeunes chercheurs aux projets de recherche prometteurs ou déjà reconnus. Leurs parcours ont été distingués lors d'une cérémonie, vendredi 16 octobre 2015, en salle Guy-Ourisson.

Dix de ces jeunes et talentueux chercheurs ont reçu le prix scientifique « Les Espoirs de l'Université de Strasbourg », décerné dans le cadre de la mise en œuvre du levier « Gestion des talents » de l’Initiative d’excellence (IdEx). Parce qu'ils font preuve d’originalité et de dynamisme dans la mise en œuvre de leur recherche et participent au rayonnement du site strasbourgeois, Alain Beretz a insisté sur l'importance de leur dire merci. « L'excellence de chacun fait la fierté de tous », a insisté le président de l'Université de Strasbourg. Catherine Florentz, vice-présidente en charge de la recherche et de la formation doctorale, a quant à elle souligné « la complémentarité des domaines de recherche mis à l'honneur », mais aussi « l’effet d'entraînement de ces distinctions de toute la communauté vers l'avenir ».
Le parcours de chacun des lauréats a été résumé en 180 secondes par leurs directeurs d'unité, reflétant ainsi leur jeune mais néanmoins brillant parcours, et leur capacité à travailler dans l'interdisciplinarité.

La liste complète des chercheurs distingués

Cette cérémonie était également l'occasion de féliciter deux nouveaux membres junior de l'Institut universitaire de France, ainsi que deux lauréats de l'ERC (European research council).

Pour pouvoir prétendre au prix « Les Espoirs de l'Université de Strasbourg », doté d'un montant de 10 000 €, les chercheurs, dont les dossiers de candidature ont été déposés en janvier dernier, doivent répondre à des critères bien précis : ne pas être âgé de plus de 42 ans, bénéficier de 6 à 10 ans d’ancienneté au sein d’une unité de recherche rattachée à l’Université de Strasbourg ; être maître de conférences, chargé de recherche ou personnel assimilé ; ne pas avoir été primés par une chaire, par l’ERC ou l’IUF, ni être des fellows de l’Usias. La commission de la recherche a reçu 34 dossiers. Les candidats au titre 2016 ont jusqu'au lundi 16 février 2016 pour adresser leur dossier de candidature.

 

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Identités complexes : l’équipe partage ses recherches

L'équipe du projet "Identités complexes : Visibilité et lisibilité de l'Université de Strasbourg" a présenté l’avancée de la recherche-action pour la première fois hors des murs de l'université, à un public de spécialistes de ces questions à l'occasion du colloque "Lumière sur le design", organisé au Shadok, le 16 octobre 2015, dans le cadre des Journées de l'architecture 2015.

Structures, publications, applications informatiques, sites… L’univers visuel de l’Université de Strasbourg dépasse allègrement la centaine de logos, d'identités, de représentation diverses, sans compter la profusion exponentielle des acronymes. Une abondance qui pose un sérieux problème d’identification, à la fois au public externe, mais aussi aux collaborateurs de l’Unistra. Sans le vouloir, cela peut parfois apporter de la confusion dans la reconnaissance même des actions et des savoirs qui s'y élaborent et s'y diffusent. Pour le designer Ruedi Baur, il faut dépasser le concept d'identité pour passer à celui d’identification. L’Université de Strasbourg est un organisme vivant, dont la complexité ne peut se résumer à une question de logo. Aussi, le design doit proposer à sa communauté un langage qui lui serve de clé pour communiquer, en mettant une « boîte à outils » dans les mains de chacun.

L’équipe présente dans ce sens un premier vocabulaire : un jeu de typographies, l’une conçue spécialement pour répondre aux spécificités de cet univers un peu hors du commun, soutenue par un jeu de pictogrammes et l’autre « open source », destinée à écrire et diffuser le savoir ; une logique d’identification graphique ; un lexique, véritable répertoire des structures composant l’université, qui permettra de démystifier les acronymes, de comprendre les relations entre chaque structure et de fournir à chacun une information de base intelligible. La mise en œuvre des résultats du projet sera bien évidemment accompagnée, pour permettre à chacun de s'approprier ce nouveau langage.

Initié dans le cadre des Initiatives d’excellence (IdEx), le chantier « Identités complexes » se poursuivra jusqu'en juin 2016, avec des applications au cours du premier semestre 2016.

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150 recruteurs, 520 simulations d’entretiens, 10 jours : Prêt pour l'emploi, c’est parti !

L'opération Prêt pour l'emploi est de retour au Nouveau Patio, du 9 au 24 novembre. Une occasion de mettre toutes les chances de son côté pour bien débuter sa vie professionnelle.

Vous êtes étudiant ou jeune diplômé, vous souhaitez faire un stage, mais la perspective de l'entretien vous fait stresser ? Pas de panique ! C'est pour vous y préparer au mieux qu’Espace avenir a concocté le programme de Prêt pour l'emploi. Vous serez ainsi bien armé pour décrocher votre futur premier emploi, et même faciliter une entrée en formation sélective.

Du 9 au 24 novembre, Prêt pour l’emploi est de retour au Nouveau Patio à l’Université de Strasbourg (20 rue René Descartes, Strasbourg). L’opération permet de s'entraîner grâce à des simulations d'entretien de recrutement avec des professionnels, mais aussi une série de rendez-vous autour du CV et de la lettre de motivations, des candidatures dans un pays anglophone, du marché du travail allemand... Durant dix jours, ce sont 520 simulations d’entretien qui seront menées par 150 recruteurs  professionnels associés aux enseignants, et des chargés d’orientation et d’insertion de l’Unistra.

« Prêt pour l’emploi ! » est organisé par l’Université de Strasbourg en étroite collaboration avec l’Apec (Association pour l’emploi des cadres), la Région Alsace, la Jeune chambre économique de Strasbourg, l’Association nationale des directeurs de ressources humaines (ANDRH), le Medef (Mouvement des entreprises de France), la Chambre de commerce et d’industrie Alsace, la Chambre de métiers d’Alsace, l’Union des industrie et entreprises de la métallurgie (UIMM), le Centre des jeunes dirigeants d’entreprise et Pôle emploi.

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La retraite, ça se prépare...

L'Université de Strasbourg et le CNRS organisent un forum-rencontre afin d'aider leurs personnels, et notamment les plus de 50 ans, à bien préparer leurs retraites.
Ce forum aura lieu à la Misha (campus de l'Esplanade), le mercredi 2 décembre de 10h30 à 16h. On pourra s'y informer sur ses droits, sa couverture santé, la gestion de son patrimoine et sa vie sociale.
Les services de pensions du CNRS et de l'Unistra, la Carsat (caisse d'assurance retraite et de santé au travail), l'Ircantec (retraite complémentaire de la fonction publique), la chambre des notaires, la MGEN et France Bénévolat y seront présents pour informer les différents publics.
Deux conférences viendront agrémenter cette manifestation :
- 11h : la retraite dans la Fonction publique par Sébastien Grésik, responsable du services des pensions et accidents du travail du CNRS
- 13h30 : le vieillissement en question, l'oeil du clinicien par le professeur Thomas Vogel, service de médecine interne-gériatrie au CHU de Strasbourg.

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Compte épargne-temps : lancement de la campagne pour 2014-2015

La Direction des ressources humaines informe que la campagne relative au compte-épargne temps (CET) au titre de l’année universitaire 2014-2015.

Cette campagne se déroulera selon le calendrier suivant :

  • du 1er novembre au 4 décembre 2015 : ouverture d’un CET pour les personnels n’en disposant pas encore ;
  • du 1er novembre au 31 décembre 2015 : alimentation d’un CET existant ou d’un nouveau CET ;
  • du 15 au 31 janvier 2016 : choix d’utilisation des jours stockés sur les CET au-delà du 20e jour.

Ces opérations seront effectuées par les personnels via l’ENT, onglet Mon dossier - Mon compte épargne-temps.

Tous les points clefs concernant le compte épargne-temps sont synthétisés dans un document disponible via l'ENT onglet Vie de l'université - Fonctionnement/services/projets - Domaine de gestion des ressources - Direction des ressources humaines - Nos services et ressources - Conditions de travail - Compte épargne-temps.

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Enseignants-chercheurs : procédure spécifique d’avancement de grade

La procédure d’avancement de grade réservée aux enseignants-chercheurs exerçant des fonctions particulières ouvre le 12 novembre.

La période de recensement des candidatures à la procédure spécifique d’avancement de grade réservée aux enseignants-chercheurs exerçant des fonctions particulières est fixée du 12 novembre au 14 décembre 2015.

Toutes les informations sont disponibles sur le site du ministère.

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Le Bureau de la formation continue vient de faire paraître son offre de formation pour le mois de janvier 2016.

Les fiches d'inscription sont à retourner au Bureau de la formation continue dûment munies de l'avis hiérarchique avant le jeudi 12 novembre 2015.

Les fiches descriptives des formations sont également disponibles dans l'ENT, rubrique "Vie de l'université - Fonctionnement/Services centraux/Domaine de gestion des ressources - Direction des ressources humaines - Formation continue - Catalogue des formations 2015".

La fiche d'inscription est téléchargeable dans l'ENT, rubrique "Vie de l'université - Fonctionnement/Services centraux/Domaine de gestion des ressources - Direction des ressources humaines - Formation continue - Fiches d'inscription".

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Le Off du Forum mondial de la démocratie lance les Grands débats de l’Unistra

La saison 2 des Grands débats de l’Université de Strasbourg débute officiellement jeudi 19 novembre 2015. Cette première rencontre, dans le cadre du Off du Forum mondial de la démocratie, lance un cycle de rencontres entre étudiants et acteurs de l’Europe en marche.

En raison de sa position géographique au carrefour de l’Europe, de son histoire et de la présence de la question européenne dans de nombreuses formations, l’Université de Strasbourg est destinée plus que toute autre université en France à susciter, pour ses étudiants et l’ensemble de la cité, de vrais débats sur l’Europe.

À l’occasion du off du Forum mondial de la démocratie, l’Unistra lance la seconde édition des Grands débats de l’Université de Strasbourg. Pour ce premier débat, Olivier de Bavinchove, ancien chef d’état-major de la force internationale de l’Otan, viendra débattre de la question de la sécurité extérieure et intérieure de l’Union européenne avec un panel d’étudiants, avant d’interagir avec le public.

Cet événement est organisé à l’initiative de la vice-présidence Sciences en société et financée par le levier socio-culturel de l’Initiative d’excellence du programme Investissements d’avenir, en partenariat avec le Lieu d’Europe et la Ville de Strasbourg.

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InSitu : des étudiants en art investissent le Patio pour une semaine de création(s)

Du 16 au 20 novembre, des étudiants de la faculté des arts et de la Hear investiront le Patio pour une semaine de workshops in situ. Un séminaire autour de cette notion les a réunis, le 21 octobre, pour préparer ces cinq jours "Hors limites".

Une soixantaine d’étudiants de la Hear (Haute école des arts du Rhin) et du master recherche Arts plastiques de l’Université de Strasbourg étaient réunis, mercredi 21 octobre, pour un séminaire consacré à la notion d'in situ, rythmé par l’intervention d’artistes et d’historiens de l’art et des représentants de la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) et du Centre européen d'actions artistiques contemporaines (Ceaac).

La journée s’est articulée autour d’une réflexion sur l’interaction entre l’œuvre d’art et l’espace dans lequel elle s’inscrit, en particulier l’espace public. Séverine Hubard a notamment évoqué son œuvre Métakiosque, qui sera installée sur le campus en avril.

Cette journée avait pour but de préparer la semaine « Hors limites »* : du 16 au 20 novembre, des étudiants de la faculté des arts et de la Hear prolongeront cette journée de réflexion avec  un workshop, « Un lieu, des projets », au sein de l’espace ouvert du Patio. Une soirée festive de restitution de leurs travaux est programmée vendredi 20 novembre, à partir de 19 h. Cette action est coordonnée par le Service universitaire de l’action culturelle et pilotée par les enseignants de la Faculté des arts et de la Hear.

* mise en œuvre dans le cadre d'un IdEx

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Le vice-président de la Commission européenne débat du droit d’auteur dans l’UE

Andrus Ansip et Christophe Geiger.
Crédit : Lisbon Council.

« Le droit d’auteur dans l’Union européenne est-il adapté pour le 21e siècle ? » C’est de cette problématique qu’Andrus Ansip, vice-président de la Commission européenne en charge du marché numérique unique, viendra discuter lors d’une conférence-débat animée par Christophe Geiger, directeur du CEIPI, mardi 24 novembre 2015.

Le Centre d'études internationales de la propriété intellectuelle (CEIPI) accueille le vice-président de la Commission européenne en charge du marché numérique unique, Andrus Ansip, pour une conférence-débat sur le thème de la future réforme du droit d'auteur en Europe, intitulée « Le droit d’auteur dans l’Union européenne est-il adapté pour le 21e siècle ? ».

Andrus Ansip, ancien Premier ministre de l'Estonie, a été nommé vice-président de la Commission européenne en 2014, où il est en charge du portefeuille du marché numérique.  La modernisation des règles du droit d'auteur en Europe est une étape essentielle vers l’achèvement du marché unique numérique européen. La Commission européenne a promis de présenter ses propositions pour un « ajustement de régime du droit d'auteur à l'ère numérique » en 2015. Le débat sera animé par Christophe Geiger, professeur à l’Université de Strasbourg et directeur général du CEIPI.

À cette occasion, le président de l’Université de Strasbourg, Alain Beretz, prononcera le discours d'ouverture.

  • Mardi 24 novembre 2015, en Salle des thèses, au Nouveau Patio, à 17 h 30. Entrée libre, dans la limite des places disponibles.

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Le Métakiosque de Séverine Hubard se déploiera sur le campus au printemps

En avril dernier, Séverine Hubard remportait l'appel à projets artistiques lancé par le Service universitaire de l'action culturelle. Pour accompagner la transformation du parc de l'université initiée avec le projet Mon campus est un jardin, au printemps 2016, c'est une œuvre d'art aux airs de kiosque à musique qui sera inaugurée.

Installée en plein cœur du campus, au milieu des pelouses pimpantes, des arbres et des parterres en fleurs le Métakiosque* ("méta" signifie changement, transformation, comme dans "métamorphose") changera de forme au fil des saisons. L’artiste Séverine Hubard, originaire de Lille et installée à Buenos Aires, l'imagine déjà « comme un lieu de vie, dont l'usage évoluerait ». La particularité de l'œuvre, c'est qu'elle est modulable : sorte d'ovni aux pattes dépliées à la rentrée, cachette en hiver, transats en fleur au printemps et kiosque à musique aux beaux jours. Le tout décliné en couleurs primaires ; une évolution par rapport au projet initial (photo).

« Le mieux, ce serait qu'il devienne un point de repère, un lieu de rendez-vous sur le campus. Et, pour l'inauguration, qu'un groupe de musique étudiant assure son baptême. »

But affiché du Suac : interroger le rapport d'une œuvre à son environnement et, par là, faire du parc un véritable espace de réflexion et d'appropriation.

Mercredi 21 octobre, Séverine Hubard était à Strasbourg pour présenter le travail en cours aux étudiants en arts de l’université et de la Hear.

* Le projet bénéficie de crédits de financement IdEx.

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L’Orchestre philarmonique de Strasbourg joue pour les étudiants

Dans le cadre de son partenariat avec la Carte culture, et avec le soutien de la Région Alsace, l’Orchestre philharmonique de Strasbourg (OPS) présente son traditionnel concert offert aux étudiants, mardi 10 novembre, à 20 h 30, au Palais universitaire.

Au programme : Pavane pour une infante défunte de Ravel, Concerto pour violoncelle et orchestre en mi mineur op. 85 de Elgar, et symphonie n°2 de Ross Harris, sous la direction de Aziz Shokhakimov, avec le violoncelliste Alexander Somov et la soprano Madeleine Pierard.

Invitations gratuites exclusivement réservées aux étudiants détenteurs de la Carte culture, à retirer auprès de l’Espace Carte culture (bâtiment Le Platane) ou à la caisse de l'OPS sur présentation de la carte d'étudiant.

 

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Un hommage à Lolita à travers le soundpainting

Crédit : Sylvain Scubbi

Ils sont une vingtaine, étudiants et enseignants issus de différentes facultés, à investir la scène, qui jouant de la trompette, qui du violon, qui du piano, dansant ou lisant un texte en différentes langues. Ensemble, ils forment des tableaux mouvants, une composition sonore et visuelle qui ne s'appuie sur aucune partition: celle-ci se crée en temps réel.

La scène s’est déroulée samedi 17 octobre, en salle d’évolution du Patio. La performance de soundpainting — langage de signes inventé par Walter Thompson — est dirigée par Burcu Yilmaz, à la manière d’un chef d’orchestre. La performance est le fruit d'une collaboration étroite entre cette danseuse diplômée de soundpainting et Lara Delage-Toriel, maître de conférences en littérature nord-américaine et spécialiste de l'œuvre de Vladimir Nabokov. Ensemble, elles ont conçu et mené une dizaine d'heures d'ateliers articulant l'initiation aux signes du soundpainting, l'analyse critique du texte de Lolita, ainsi que l'art de l'improvisation et de la présence scénique.

Derrière la démarche, on trouve aussi l’idée de l’apprentissage par l’appropriation et l’action, et le fait qu'une œuvre vit des multiples lectures qu'elle suscite : « L’idée est que chacun des participants livre sa propre interprétation du roman Lolita, dont on célèbre les 60 ans cette année », affirme Lara Delage-Toriel, qui a été la présidente-fondatrice de l’association Chercheurs enchantés-Société française Vladimir Nabokov, dont le site présentera le film de la performance à la fin du mois de novembre.

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Réservez votre soirée du mardi 17 novembre : le Service universitaire des activités physiques et sportives (Suaps) organise son tournoi Tutti sports, à partir de 18 h et jusqu'à... 2h, mercredi 18.

Basket, badminton, pétanque, tennis de table, ultimate, volley-ball : les 32 équipes de quatre à six joueurs participent à des rencontres amicales dans les six activités, au Centre sportif universitaire (CSU) et à la Halle des sports. Les règlements sont adaptés pour pouvoir jouer rapidement. Tous les étudiants et personnels de l'Unistra (ou d'un établissement sous convention avec le Suaps), à jour de droits sport, sont les bienvenus.

Cette rencontre amicale se déroule sur les deux sites du service des sports (la Halle des sports et le Centre sportif universitaire), mardi 17 novembre, à partir de 18 h du mardi 18 h au mercredi matin vers 2h.

  • Inscription (2 €) au bureau d'accueil du CSU jusqu'au lundi 16 novembre, à 16 h
  • Toutes les informations sur le site du Suaps

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Des séjours en Thaïlande ou ski avec le Spacs

Il reste encore des places pour le voyage découverte 2016 à destination de la Thaïlande proposé par le Service pour la promotion de l'action culturelle (Spacs).

Trois départs sont programmés : du 10 février au 22 février 2016 (vacances scolaires) ; du 27 février 2016 au 10 mars 2016 ; du 04 mars au 16 mars 2016.

Par ailleurs, comme tous les ans, le Spacs propose des sorties et des séjours de ski. Le programme et les différentes offres pour la saison 2015/2016 sont aussi en ligne.

Toutes les informations concernant ce voyage sont disponibles sur le site internet du Spacs, rubrique Actualités.